Pas cher et pas mal

Hors les marchands de souks marocains et ceux du Bazar d’Istanbul, qui maintient encore la tradition de l’hospitalité du thé ? Justement, ce restaurant Turc, où le samovar fonctionna alors que je notais seulement son numéro de téléphone. L’endroit étant coquet, net, joyeux et le patron souriant, je revins déjeuner. Tomates écrasées à l’ail, brochette de poulet au feu de bois, dessert oriental, café et un quart de vin rosé furent de simples vérités premières gentiment enveloppées de leur modestie; je me suis estimé comblé.
— TéléObs

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